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assemblée nationale - Page 5

  • Cécilia Attias, ex-épouse de Nicolas Sarkozy, aurait été rémunérée par l’Assemblée quand il était ministre

    Publié par Guy Jovelin le 13 janvbier 2021

    Selon une enquête du Canard Enchaîné, Cécilia Attias aurait touché 3088 euros net par mois entre 2002 et 2003. Elle aurait officié comme assistante parlementaire de la députée Joëlle Ceccaldi-Raynaud, qui remplaçait Nicolas Sarkozy, devenu ministre de l’Intérieur.

    […]

    Interrogée par le journal satirique, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, récemment mise en examen dans l’affaire dite «des lingots d’or», a déclaré : «Vous remontez loin ! Je n’ai rien à vous dire !» Le Canard Enchaîné explique que pour 75,84 heures de travail par mois, Cécilia Sarkozy aurait touché 3088 euros net.

    […]

    L’article dans son intégralité sur Le Figaro

  • L’Assemblée nationale ouvre la voie à l’esclavage moderne

    Publié par Guy Jovelin le 03 août 2020

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    L’Assemblée nationale ouvre la voie à l’esclavage moderne

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    Le vote en 2e lecture du projet de loi de bioéthique à l’Assemblée nationale illustre l’amateurisme du gouvernement et la légèreté de sa majorité parlementaire. Malgré la nature du texte et les demandes répétées de l’opposition, la majorité s’est obstinée à refuser un votre solennel pour clore cette seconde lecture, confirmant ainsi sa volonté de passer en catimini que un texte toujours aussi clivant.

    L’examen du texte au creux de l’été, dans la précipitation, n’a pas été à la hauteur des enjeux d’un texte aux conséquences lourdes pour toute la société. Face à des questions sensibles, qui touchent à l’intime et au plus profond de notre humanité, le gouvernement a brillé par son impréparation déjà observée lors de l’examen du texte en commission spéciale. Entre les lapsus du Premier Ministre et les présences furtives des ministres, les conditions d’un « débat serein et apaisé » n’étaient clairement pas réunies. Cela est d’autant plus regrettable que les mesures du projet de loi prévoient de priver volontairement des enfants du droit d’avoir un père. Toutes les études d’opinion confirment que les Français sont très majoritairement opposés à cette injustice imposée à l’enfant au nom du désir des adultes. La PMA sans père ouvre en outre la voie à la GPA, c’est-à-dire la pratique des mères porteuses, véritable forme d’esclavage moderne et atteinte intolérable à la dignité de la femme et des enfants.

    Un climat d’incertitude sur la capacité du gouvernement à faire aboutir correctement ce processus législatif

    L’absence du gouvernement tout au long de cette deuxième lecture à l’Assemblée nationale, aussi bien en commission qu’en séance publique, interroge sur sa capacité à conduire la suite du processus législatif dans des conditions démocratiques et politiques satisfaisantes. Pris en otage par une poignée de députés radicaux, le gouvernement a perdu le fil, se contentant de sauver les apparences aux détours de son oppositions à quelques amendements polémiques comme la ROPA ou le DPI-A.

    Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous, résume :

    « Malgré le cynisme du gouvernement qui n’a pas hésité à profiter des restrictions démocratiques imposées par le contexte sanitaire, notamment l’impossibilité d’organiser des manifestations de rue massives, les défenseurs de la famille et des droits des enfants restent mobilisés pour dénoncer un texte rempli d’injustices et d’inégalités. Selon un cabinet indépendant, nous avons organisé les plus importantes manifestations populaires du quinquennat en opposition à ce projet de loi ni bio, ni éthique. Notre détermination est intacte et le gouvernement doit savoir qu’il pourra compter sur nous à toutes les étapes d’un processus législatif encore long et à l’issue incertaine. Il en va de la dignité des femmes et des enfants et de la défense de la « bioéthique à la française » que le monde entier nous envie ».

     

    Source : lesalonbeige

  • Vers une dissolution de l’Assemblée nationale ?

    Publié par Guy Jovelin le 20 mai 2020

    Vers une dissolution de l’Assemblée nationale ?

    Pour détourner l’attention des Français de la pitoyable gestion de la crise par le gouvernement et permettre à la politique politicienne de reprendre la une de l’actualité, Stéphane Séjourné, ancien conseiller du Président, estime que la solution d’une dissolution de l’Assemblée ne doit pas être écartée.

    D’autant plus qu’un neuvième groupe politique, composé de 17 anciens députés LREM, a été déposé officiellement mardi à l’Assemblée. Le groupe LaREM perd du même coup la majorité absolue, au moins temporairement. Baptisé “Ecologie Démocratie Solidarité”, ce nouveau groupe est “indépendant”, “ni dans la majorité, ni dans l’opposition”. Parmi ses membres figurent d’anciens “marcheurs” comme Matthieu Orphelin (proche de Nicolas Hulot), ou encore des membres de l’aile gauche de LaREM comme Aurélien Taché ou Cédric Villani. Tous ces députés ont été élus en 2017 sous l’étiquette LaREM à l’exception de Delphine Batho.

    Avec ce neuvième groupe, LaREM perd sept de ses membres ou apparentés, tombant à 288, juste sous le seuil de la majorité absolue (289 sièges) qu’il détenait jusqu’alors à lui seul. Le groupe comptait 314 députés en mai 2017. Un symbole, même si le groupe majoritaire peut s’appuyer sur ses 46 alliés du MoDem et la dizaine d’élus Agir.

    Et une dissolution permettrait au gouvernement en place de laisser la difficile gestion post-COVID à une nouvelle équipe, si possible de l’opposition à Macron, afin de faire réélire ce dernier en 2022.

     

    Source : lesalonbeige

  • L’Assemblée nationale légalise le cannabis

    Publié par Guy Jovelin le 25 octobre 2019

    L’Assemblée nationale légalise le cannabis

    C’est à titre expérimental et pour deux ans, mais on sait ce que deviennent ces ballons d’essai au bout de leur expérimentation…

    L’Assemblée nationale a donné, vendredi 25 octobre, son feu vert à une expérimentation de l’usage médical du cannabis, dans le cadre de l’examen du projet de budget de la Sécurité sociale pour 2020. Les députés ont voté à main levée un amendement du rapporteur Olivier Véran (LREM).

    Or, selon l’Académie nationale de pharmacie, le cannabis thérapeutique n’existe pas. Cette « banalisation des préparations de cannabis trompe les attentes des patients en se faisant passer pour “thérapeutique” ». Car le cannabis n’est pas un médicament.

    « C’est une substance illicite, qui fait courir des risques notoires sur les plans physiques et psychiques ».
     
    Source : lesalonbeige
  • En 2000, un prêtre et une religieuse avaient dû retirer leur croix et leur voile pour s’asseoir dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale

    Publié par Guy Jovelin le 15 octobre 2019

    Par  le 14/10/2019

    En 2000, sous la présidence du socialiste Laurent Fabius, un prêtre et une religieuse avaient dû respectivement retirer leur croix et leur voile pour s’asseoir dans l’hémicycle.

    (…) Le Figaro via fdesouche